Les drone aériens sans pilote, ou les UAV, sont devenus une caractéristique omniprésente de la guerre contemporaine. Leur utilisation a proliféré à tel point que même les acteurs non étatiques se vantent de flottes entières de drones, y compris ISIS et sa flotte apparemment inépuisable de cuadroscopes. Presque tous les militaires nationaux exploitent une force drone, en commençant par des UAV légers et épaule, et se terminant par les infâmes Predators et Reapers ou leurs équivalents. Mais relativement peu de pays peuvent se vanter des drones à la pointe de ce spectre représenté par la famille HALE, ou une grande endurance de longue durée. Le début des essais en vol de l'Altius-M HALE UAV indique que la Russie est sur le point de rejoindre ce groupe d'élite.
Comme l'indique l'acronyme lui-même, les drones HALE sont destinés à ce qui sont essentiellement des missions de collecte de renseignements très importantes. Les altitudes élevées auxquelles ils fonctionnent combinés à de longs temps de repos et à des charges lourdes signifient qu'ils peuvent fournir des capacités de reconnaissance en second lieu seulement à ceux des gros appareils de surveillance électronique à la fraction du coût et avec beaucoup moins de ramifications politiques. Pour citer un exemple de leur utilité, les fabricants d'armes nucléaires américaines de l'OTAN Global Hawk ont ??effectué des vols réguliers sur l'Ukraine afin de surveiller la situation du champ de bataille dans Donbass. Ces missions ont attiré beaucoup moins d'attention internationale que ces missions ont été volées par des combattants multi-cornés équipés de gadgets de reconnaissance ou de gros appareils de surveillance électronique. L'envoi d'avions de l'OTAN sur ce qui serait une mission de combat de facto sur une zone de guerre aurait été universellement perçu comme une déclaration politique profonde et provocante, tout en utilisant Global Hawks pour le même but n'avait pas de répercussions politiques. On peut même imaginer que les drones HALE soient envoyés dans des missions de collecte de renseignements «kamikaze» dans l'espace aérien d'autres pays, dans le but de rassembler et transmettre autant d'informations que possible avant d'être abattu. Tout en étant extrêmement provocateur et coûteux avec les avions équipés, l'utilisation d'un drone a une "déni plausible" intégrée car ces incursions peuvent être marquées par des dysfonctionnements de l'équipement. On peut même imaginer que les drones HALE soient envoyés dans des missions de collecte de renseignements «kamikaze» dans l'espace aérien d'autres pays, dans le but de rassembler et transmettre autant d'informations que possible avant d'être abattu. Tout en étant extrêmement provocateur et coûteux avec les avions équipés, l'utilisation d'un drone a une "déni plausible" intégrée car ces incursions peuvent être marquées par des dysfonctionnements de l'équipement. On peut même imaginer que les drones HALE soient envoyés dans des missions de collecte de renseignements «kamikaze» dans l'espace aérien d'autres pays, dans le but de rassembler et transmettre autant d'informations que possible avant d'être abattu. Tout en étant extrêmement provocateur et coûteux avec les avions équipés, l'utilisation d'un drone a une "déni plausible" intégrée car ces incursions peuvent être marquées par des dysfonctionnements de l'équipement.
Bien que l'intérêt de la Russie pour les drones HALE soit antérieur aux guerres en Ukraine et en Syrie, ces conflits ont rendu le besoin d'un tel véhicule ressenti de façon plus sévère. Afin de surveiller les événements dans les deux zones de conflit, la Russie a dû recourir à sa petite flotte d'avions Tu-214 et Il-20. Bien que les avions hautement compétents, ils étaient à la fois trop et trop peu pour cette tâche. Trop, car le niveau de couverture des capteurs offert par ces avions est adapté à des conflits de grande intensité avec de grandes forces opposées équipées de défenses aériennes à longue distance. Trop peu, parce que le petit nombre de ces avions rendait difficile et coûteuse d'établir une couverture continue. Étant moins coûteux de se procurer et d'exploiter, et pourtant, de puissants capteurs, les HANO drones sont un ajout important aux capacités de surveillance et de reconnaissance électroniques de n'importe quel pays.
L'Altair et Altius-M HALE UAV est destiné à devenir cet ajout, le premier étant destiné principalement à des usages civils tels que la surveillance de l'environnement et la surveillance des pipelines. Produit du Simonov Design Bureau à Kazan, le projet existe déjà sous la forme de deux prototypes utilisés à des fins de test. Le drone lui-même présente de nombreuses caractéristiques d'autres avions dans la même catégorie: longues ailes droites et utilisation intensive de composites afin de garantir l'altitude et la portée nécessaires. Il est propulsé par deux moteurs diesel à haut rendement énergétique de 500 ch. Ces caractéristiques donnent au véhicule de poids de décollage de 7 tonnes une latitude maximale de 12 km et une portée de 10 000 km à une vitesse de croisière de 150 à 250 km / h, ce qui se traduit par une durée de vol de 48 heures. La charge utile de deux tonnes d'Altius-M permettra au drone de transporter non seulement la gamme habituelle de capteurs optiques et thermiques, mais aussi un radar de surveillance au sol à ouverture synthétique avec une résolution de .1 mètre à la portée de 35 km et 1 mètre au La gamme de 125 km. Son équipement de communication permet une transmission de données en temps réel au rythme de 30 Mbps aux stations au sol, aux retransmissions UAV et aux satellites. Le budget total pour l'ensemble du programme est estimé à environ 6 milliards de roubles et les véhicules doivent être opérationnels au début des années 2020. En plus des avantages économiques et militaires évidents pour l'utilisation du drone HALE, ils établiront également la Russie comme l'un des leaders mondiaux dans le développement d'UAV lourds. 1 mètre à la portée de 35 km et 1 mètre à la portée de 125 km. Son équipement de communication permet une transmission de données en temps réel au rythme de 30 Mbps aux stations au sol, aux retransmissions UAV et aux satellites. Le budget total pour l'ensemble du programme est estimé à environ 6 milliards de roubles et les véhicules doivent être opérationnels au début des années 2020. En plus des avantages économiques et militaires évidents pour l'utilisation du drone HALE, ils établiront également la Russie comme l'un des leaders mondiaux dans le développement d'UAV lourds. 1 mètre à la portée de 35 km et 1 mètre à la portée de 125 km. Son équipement de communication permet une transmission de données en temps réel au rythme de 30 Mbps aux stations au sol, aux retransmissions UAV et aux satellites. Le budget total pour l'ensemble du programme est estimé à environ 6 milliards de roubles et les véhicules doivent être opérationnels au début des années 2020. En plus des avantages économiques et militaires évidents pour l'utilisation du drone HALE, ils établiront également la Russie comme l'un des leaders mondiaux dans le développement d'UAV lourds.
